CCI : droit de réponse d'Alain Bourbia

A la suite des articles publiés tant sur ce blog, que dans l'hebdomadaire l'Agglo-Rieuse et après notamment un article de ce jour (n°442), Me Maxime Martinez, l'avocat d'Alain Bourbia nous demande de diffuser ce droit de réponse : "La dernière édition de l'Agglo-Rieuse prête à mon client, Alain Bourbia des propos qu'il n'a jamais tenus. Si Mr Bourbia devait regretter que madame Deloncle n'ait pas réagi plus tôt aux calomnies dont entre autres elle et lui étaient victimes, il n'a, à aucun instant "balancé sur des contributions en liquide de 1000 euros versées sans reçu pour la campagne". Concernant le mémoire dont il rendait destinataire madame la juge d'instruction Debasc, Mr Bourbia précise qu'il ne contient de "révélations" que relatives aux pressions dont il fait l'objet, pressions qui trouvaient une traduction dans vos colonnes lorsqu'il y était présenté comme le "donneur d'ordre" d'une prétendue fraude organisée. Mr Bourbia ne peut souffrir d'avantage d'être un jour désigné comme l'exécutant de basses besognes et le lendemain comme traître à la cause, il n'est ni ne fut l'un, ni l'autre. En homme intègre et libre, Alain Bourbia souhaite aujourd'hui réfléchir à son devenir au sein de la CCI, organisme pour lequel il n'a de missions que gracieuses".