Les révélations de l'Agglo-Rieuse le 25 septembre sur le dérapage présumé d'un sapeur-pompier volontaire du centre d'intervention et de secours de Florensac qui est soupçonné d'avoir insulté et menacé sur le 18 deux "collègues" du Sdis 34 affectés au centre de traitement de l'alerte (CTA, Codis 34), avec la mise en ligne sur ce blog des deux enregistrements nocturnes, pourraient faire une victime collatérale, à savoir la "taupe" du journaliste que la hiérarchie du Sdis 34 s'emploie activement à identifier depuis ces derniers jours. Avec le risque évident de se tromper de cible. Ainsi, la hiérarchie du Sdis 34 est visiblement plus prompte à vouloir démasquer une "taupe" -qui, bien entendu peut être étrangère à la famille des pompiers de l'Hérault- qui n'a pas l'avantage d'être protégée en interne et qui n'a fait que son devoir en dénonçant de telles dérives présumées dans l'hypothèse où elle est pompier, qu'à sanctionner Stéphan N., président de l'amicale de la caserne de Florensac, parrain de la fille de Vincent Gaudy, maire de Florensac et fils de Michel Gaudy, vice-président du conseil général de l'Hérault et surtout président du conseil d'administration du Sdis 34, visé dans la plainte déposée hier à la brigade de gendarmerie de Saint-Gély-du-Fesc, par les deux stationnaires, insultés, menacés et surtout humiliés. Même si depuis les faits, selon le colonel Christophe Risdorfer, directeur du Sdis de l'Hérault, l'intéressé a fait des excuses...Une affaire qui serait suivie de très près par le préfet.
JMA
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