Six ou sept jeunes militants se déclamant du "Front de gauche" ont brièvement interrompu le conseil municipal lundi 26 mars en début de soirée, au moment où le maire, Hélène Mandroux s'apprêtait à donner la parole à une conseillère municipale, au sujet de la création d'un Conseil consultatif des résidents étrangers, contre lequel les élus de l'opposition ont voté contre. Aux cris de "Front de gauche, liberté d'expression du peuple, nous voulons avoir beaucoup plus la parole", ils ont envahi l'espace du public, mitoyen des bancs de la presse, avant d'être expulsé manu militari par la police municipale et par un agent de sécurité. L'un d'eux a crié : "On s'en va, on n'est pas dangereux". La séance a alors repris son cours. Plus de cent dossiers sont évoqués.
Jean-Marc Aubert
3 commentaires:
en plein pendant le débat sur le droit de vote des résidents étrangers non UE aux élections locales et la création de ce conseil (d'ailleurs une bonne chose)... ces "militants" sont ils contre le droit de vote de tous les citoyens étrangers ??? bizarre le front de gauche
une "intervention" en plein vote sur ce conseil (d'ailleurs une bonne chose) et le débat sur le droit de vote des résidents étrangers non UE aux élections locales... le front de gauche n'est il pas pour ce droit ??
René Revol pourra dire merci à Moure s’il est élu sur la 2er circo, d'ou son abstention à l'agglo sur l'augmentation de la taxe d'habitation... ? à si ces militants du FG voyaient ce que fait leur leadeur dans les couloirs...
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