Le jeune attaquant du Montpellier-Hérault-Sporting-Club, Olivier Giroud, meilleur buteur actuel du championnat de ligue 1 de football a été titulaire ce mercredi 29 février au soir sur la pelouse du stade de Brême, pour le match amical opposant la France et l'Allemagne. Le sélectionneur des Bleus (qui jouent en blanc !) Laurent Blanc lui a fait confiance, pour la plus grande satisfaction de René Girard entraîneur du MHSC, du président "Loulou Nicollin", des joueurs d'ici et bien sûr de tous les supporters. Olivier Giroud a ouvert le score à la 21e minute, sur une passe de Mathieu Debuchy ! Florent Malouda a aggravé le score (69e), avant que Giroud ne cède sa place (75e). La France bat l'Allemagne 2 à 1. Impressionnant pour ses débuts chez les Bleus, Olivier Giroud a semble-t-il gagné sa place de titulaire pour l'Euro.
Jean-Marc Aubert
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29 févr. 2012
Viol et meurtre de Léa : audience le 8 mars
Les juges de la chambre de l'instruction de la cour d'appel de Toulouse examineront jeudi 8 mars à 8h30 l'affaire du viol et du meurtre de Léa, cette lycéenne de 17 ans tuée la nuit de la Saint-Sylvestre 2010/2011 dans le quartier du Plan-des-Quatre-Seigneurs à Montpellier. Un Montpelliérain de 24 ans, Gérald S. est mis en examen et en détention provisoire. Après avoir avoué et détaillé en garde à vue, les circonstances du viol et du meurtre présumés, il s'était rétracté. Ses avocats ont saisi la chambre criminelle de la cour de cassation pour la violation de la Convention européenne des droits de l'homme, relative à l'absence d'avocat dès le placement du suspect principal en garde à vue. La juridiction suprême a cassé l'arrêt de la chambre de l'instruction de Montpellier qui avait rejeté la requête des avocats du mis en examen et qui avait jugé légale la procédure judiciaire. La cour de cassation a désigné la chambre de l'instruction de Toulouse pour qu'elle annule les procès-verbaux litigieux. Problème de taille : ils contiennent les aveux de Gérald S. Une pétition a été lancée pour soutenir les parents de Léa dans cette nouvelle épreuve et le comité de soutien se rassemblera devant la cour d'appel de Toulouse le jour de l'audience.
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
Hérault : trente feux de broussailles et de sous-bois
Alerte rouge confirmée mercredi 29 février dans l'Hérault : les pompiers sont intervenus pour éteindre trente feux de broussailles (garrigue, talus de vignoble, champs) et de sous-bois un peu partout dans le département, la plupart à cause d'écobuages mal contrôlés par des propriétaire terriens.
François Hollande serait à Montpellier le 6 avril
Le candidat du PS François Hollande serait à Montpellier vendredi 6 avril, jour de l'inauguration de la ligne 3 du tramway. La veille, il sera à Carcassonne...
LIRE DANS L'AGGLORIEUSE N°482 EN VENTE DANS LES KIOSQUES ET PAR ABONNEMENT
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Figuerolles : le squat du Père Fabre incendié
Bien que muré depuis son évacuation récente par la police d'une vingtaine d'occupants, le bâtiment de la Serm (société économie mixte de la région de Montpellier) transformé en squat de la rue du Père Fabre dans le quartier Figuerolles à Montpellier a été incendié dans la nuit de lundi 27 à mardi 28 février. Le feu a couvé une partie de la nuit, avant qu'un riverain n'alerte les sapeurs-pompiers mardi 28 février vers 6 heures.
6 mises à feu !
L'incendie a été rapidement circonscrit et n'a provoqué que des dégâts limités. Mais les pompiers ont comptabilisé pas moins de six mises à feu dans les diverses pièces du bâtiment au rez-de-chaussée et à l'étage, après qu'un pan du grillage ait été fracturé. L'origine criminelle ne faisant aucun doute, une enquête a été ouverte par les policiers de la Sécurité publique.
Jean-Marc Aubert
6 mises à feu !
L'incendie a été rapidement circonscrit et n'a provoqué que des dégâts limités. Mais les pompiers ont comptabilisé pas moins de six mises à feu dans les diverses pièces du bâtiment au rez-de-chaussée et à l'étage, après qu'un pan du grillage ait été fracturé. L'origine criminelle ne faisant aucun doute, une enquête a été ouverte par les policiers de la Sécurité publique.
Jean-Marc Aubert
Feux de forêt d'hiver : alerte rouge !
Les sapeurs-pompiers de l'Hérault sont en alerte rouge mercredi 29 février sur le front des feux de forêt d'hiver, alors que plusieurs dizaines de propriétaires terriens ont signalé au Centre opérationnel départemental d'incendie et de secours (Codis 34) qu'ils procédaient à des écobuages dans la journée. Les écobuages sont des brûlages volontaires de zones de végétation, autorisés en cette période de l'année, mais à condition qu'ils soient sous surveillance et qu'il n'y ait pas de vent supérieur à 40 km/h. "Or, depuis ces dernières semaines, la végétation étant sèche, des écobuages laissés sans surveillance ou mal éteints ont provoqué des départs de feux de garrigue, de sous-bois et même de pinède, jusqu'à dix ou douze interventions par jour lors des périodes de grand vent" déplore un officier du Codis 34. La préfecture de l'Hérault recommande ce mercredi 29 février la plus grande vigilance.
Procès-verbal
Les gendarmes dressent procès-verbal contre les propriétaires terriens qui peuvent être jugés devant le tribunal correctionnel si l'incendie a détruit des parcelles importantes. Mardi 28 février, cinq hectares de forêt ont ainsi été ravagés par les flammes sur la commune de Soubès, dans le Lodévois, à cause d'un brûlage de talus d'une vigne mal surveillé. Les demandes élevées d'écobuages pour ce mercredi avec le risque de vent fort dans l'après-midi mobilisent préventivement les pompiers de l'Hérault, en alerte rouge comme en pleine saison des feux d'été !
Jean-Marc Aubert
Procès-verbal
Les gendarmes dressent procès-verbal contre les propriétaires terriens qui peuvent être jugés devant le tribunal correctionnel si l'incendie a détruit des parcelles importantes. Mardi 28 février, cinq hectares de forêt ont ainsi été ravagés par les flammes sur la commune de Soubès, dans le Lodévois, à cause d'un brûlage de talus d'une vigne mal surveillé. Les demandes élevées d'écobuages pour ce mercredi avec le risque de vent fort dans l'après-midi mobilisent préventivement les pompiers de l'Hérault, en alerte rouge comme en pleine saison des feux d'été !
Jean-Marc Aubert
28 févr. 2012
Meurtre de la buraliste : l'avocat général s'oppose à la libération de l'auteur présumé
L'avocat général Alain Guglielmi s'est opposé mardi 28 février devant la chambre de l'instruction de la cour d'appel de Montpellier à la remise en liberté sous contrôle judiciaire plaidée par Ayoub B., un Marocain de 27 ans mis en examen depuis un an pour le meurtre de Ludmilla, cette buraliste de 19 ans, tuée de huit coups de couteau dans le bureau de tabac familial du quartier des hôpitaux-facultés en août 2010. A la suite de son avocat, Mickaël Poilpré, Ayoub B. a longuement pris la parole lors de l'audience, face au président Jean-Pierre Masia et à ses deux conseillers pour dire en Arabe, assisté d'un interprète qu'il était innocent et qu'il ne comprenait pas comment son ADN pouvait se trouver sur sa casquette, ses lunettes de soleil et sur l'étiquette scotchée sur la bouche de la victime pour l'empêcher de hurler...Des indices matériels scientifiques accablants aux yeux de l'avocat général et d'Iris Christol, partie civile pour les parents de Ludmilla. Ayoub B. marié et qui résidait avec sa femme à 1 kilomètre des lieux du meurtre est en situation irrégulière en France. Il a assuré lors de l'audience que s'il était libéré, il ne s'enfuirait pas du pays. Après avoir avoué lors de sa garde à vue, le Marocain s'était rétracté, dénonçant les violences et les pressions subies lors de son interrogatoire, comme il l'a rappelé lors de l'audience devant la chambre de l'instruction. Les 130 euros que contenait la caisse du bureau de tabac avait été dérobés le jour du meurtre. Les juges ont mis leur arrêt en délibéré à jeudi 8 mars.
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
Maison d'arrêt de Villeneuve : un cas de tuberculose avéré
Le bâtonnier de l'ordre des avocats du barreau de Montpellier, Michèle Tisseyre a alerté mardi 28 février tous les avocats d'ici de la détection d'un cas de tuberculose au sein de la maison d'arrêt de Villeneuve-lès-Maguelone et ce en fin de semaine dernière. C'est un détenu de la communauté Rom, incarcéré depuis la fin de l'année dernière avec d'autres roumains après leur mise en examen dans un vaste trafic de vol de cuivre et de métaux qui a été trouvé porteur de la tuberculose et qui reçoit depuis des soins appropriés. Le risque d'épidémie serait exclu, mais des précautions sont prises pour les visites des avocats et pour le personnel pénitentiaire. En tout cas, des détenus qui devaient être extraits lundi 27 et mardi 28 février pour des actes judiciaires ou des audiences sont restés dans leur cellule.
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
27 févr. 2012
Disparus : le couple retrouvé mort en Espagne
Le couple de retraités de Bollène (Vaucluse) porté disparu depuis début février et dont la fille domicilié à Abeilhan, dans le Biterrois avait déclenché des recherches de la gendarmerie dans le sud de l'Espagne le 8 février a été retrouvé mort dimanche 26 février, selon le quotidien Vaucluse-Matin. Les deux retraités gisaient sans vie dans leur lit, enlacés sous la couette, à l'intérieur de leur camping-car, stationné sur une aire de repos proche de Murcie et fermé à clé de l'intérieur. L'hypothèse d'un double crime est écartée. Des gendarmes de la section de recherches de Marseille vont se rendre sur les lieux de la macabre découverte.
Saint-Pargoire : 3 hectares de pinède en feu
Trois hectares de pinède ont brûlé lundi 27 février après-midi près du Mas Pujol à Saint-Pargoire (ouest de Montpellier), mobilisant les pompiers des casernes de Saint-Pargoire, Paulhan, le Pouget, Montagnac, Montbazin, Pézenas et Clermont-l'Hérault, soit dix engins et 45 hommes. Une enquête de gendarmerie est en cours pour déterminer l'origine de cet incendie, qui s'est déclaré dans un endroit isolé.
Meurtre à Montpellier : "Je l'ai étranglée dans le lit"
Une information judiciaire pour "homicide volontaire" a été ouverte à 16h ce lundi 27 février par le procureur de Montpellier, à l'heure où Pierre B., un ouvrier intérimaire de 36 ans était déféré au parquet, à l'issue de sa garde à vue où il a avoué avoir tué sa compagne, Dominique R., une agent EDF de 43 ans, à son domicile avenue des Droits de l'homme, quartier Antigone à Montpellier. Pierre B. sera mis en examen dans la foulée par le juge d'instruction de permanence. Pierre B. s'est présenté spontanément samedi 25 février au soir à l'accueil de l'hôtel de police en indiquant avoir étranglé sa compagne la veille, après une dispute à cause d'une histoire d'adultère. Sa concubine lui aurait avoué entretenir une relation sexuelle avec un autre homme... "Je l'ai étranglée dans le lit vendredi à 16h, je pense qu'elle est sûrement morte, je suis parti sans verrouiller la porte d'entrée" a-t-il déclaré au policier de l'accueil, stupéfait par ces aveux inattendus.
Pas d'avocat
Le commissaire de permanence et les enquêteurs de la sûreté départementale se rendaient immédiatement à l'adresse indiquée et effectivement, après avoir pénétré dans l'appartement par la porte non fermée à clé, ils découvraient la victime morte dans le lit de sa chambre. Décès par strangulation a confirmé le médecin-légiste. Le meurtrier présumé a expliqué avoir fortement serré avec un bras, jusqu'à l'asphyxie. Pierre B., déjà connu de la justice pour des faits de violences et de vol à main armée a erré dans Montpellier jusqu'au lendemain soir, avant de se constituer prisonnier. Il a refusé d'être assisté par un avocat durant sa garde à vue.
Pas d'avocat
Le commissaire de permanence et les enquêteurs de la sûreté départementale se rendaient immédiatement à l'adresse indiquée et effectivement, après avoir pénétré dans l'appartement par la porte non fermée à clé, ils découvraient la victime morte dans le lit de sa chambre. Décès par strangulation a confirmé le médecin-légiste. Le meurtrier présumé a expliqué avoir fortement serré avec un bras, jusqu'à l'asphyxie. Pierre B., déjà connu de la justice pour des faits de violences et de vol à main armée a erré dans Montpellier jusqu'au lendemain soir, avant de se constituer prisonnier. Il a refusé d'être assisté par un avocat durant sa garde à vue.
Jean-Marc Aubert
Escroqueries au système Android : deux Montpelliérains arrêtés
Deux Montpelliérains ont été arrêtés en fin de semaine dernière en Seine-Saint-Denis par l'Office central de lutte contre la criminalité liées aux technologies de l'informatique et de la communication (OCLCTIC) pour avoir escroqué 2000 utilisateurs de téléphones portables sous le système d'exploitation Android de Google. Le préjudice est estimé à 100.000 euros. L'un, l'inventeur de l'arnaque, l'autre, le technicien avaient créé un logiciel malveillant baptisé Foncy l'été dernier et multipliaient depuis les détournements d'argent grâce à des SMS surtaxés, facturés aux propriétaires des téléphones mobiles, qui avaient téléchargé une version infectée d'une application permettant de suivre la consommation du forfait. L'envoi des SMS illégaux coûtait 4,5 euros l'unité.
26 févr. 2012
Montpellier : grièvement blessé d'un coup de couteau
Un RMiste de 42 ans a été poignardé à l'abdomen, au visage et à un bras samedi 25 février à 13h15 sur la voie publique dans la cité de la Pergola au hameau de Celleneuve, un quartier ouest de Montpellier. Grièvement blessé, il a subi une délicate intervention chirurgicale au CHRU Lapeyronie, où il a été transporté par les pompiers et le samu 34, après l'avoir médicalisé sur place. Dimanche 26, la victime est hors de danger, selon une source policière. Les pompiers ont également secouru une autre victime, un mécanicien de 45 ans, violemment frappé avec un sabre en bois et dont les blessures sont légères. Il a quitté les urgences rapidement. Les policiers de la sûreté départementale (Sécurité publique) tentent de faire la lumière sur cette affaire : lors d'une rixe violente opposant les deux hommes, celui qui a été assommé avec le sabre en bois aurait riposté en poignardant son adversaire à l'abdomen, au visage et à un bras, à l'issue d'une course-poursuite dans la cité de la Pergola. Selon le mécanicien, son voisin aurait même tenté de l'écraser avec sa voiture et c'est en lui échappant qu'il aurait réussi à le "planter" pour se défendre...
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
Meurtre à Montpellier : une femme étranglée
Une femme a été étranglée dans la nuit de samedi 25 à dimanche 26 février dans un appartement de l'avenue des Droits de l'Homme, dans le quartier d'Antigone à Montpellier. Le concubin de la victime qui est soupçonné par les policiers de la sûreté départementale (Sécurité publique) aurait agi lors d'une violente dispute conjugale. L'homme a été interpellé par les enquêteurs et se trouve en garde à vue. "La victime, comme l'auteur présumé que nous interrogeons dans nos services sont ni très âgés, ni des personnes jeunes. La victime est âgée d'une quarantaine d'années, comme le témoin principal" indique une source policière, sans fournir plus de précisions, à la demande du magistrat de permanence au parquet de Montpellier, qui supervise l'enquête en "crime flagrant", en attendant l'ouverture d'une information judiciaire pour homicide volontaire. Une autopsie sera pratiquée lundi 27 au service médico-légal Lapeyronie.
Jean-Marc Aubert
24 févr. 2012
Montpellier : Un resto Quick braqué par deux malfrats
Encore un hold-up ! Les employés du restaurant Quick du 535 avenue du Major Flandre, dans les quartiers nord de Montpellier d'Aiguelongue et de la route de Mende, dans le secteur des facultés ont été braqués jeudi 23 février vers 22h15 par deux malfaiteurs encagoulés et porteurs d'armes de poing. Sous la menace, ils ont remis la recette de la journée. Les deux braqueurs sont repartis comme ils étaient venus : à pied. Ils auraient rejoint un moyen de locomotion (voiture, scooter, moto ?) garé à proximité. Il pourrait s'agir d'un nouveau vol à main armée à l'actif d'une des deux équipes qui opère à Montpellier depuis une quinzaine de jours, des hold-up qui avaient lieu jusqu'alors dans les quartiers sud. Les policiers montpelliérains sont sur les dents.
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
Montpellier : le retraité de la Banque de France escroqué par une assistante de vie
Un cadre de la Banque de France à la retraite de 97 ans domicilié à Montpellier a été escroqué par son assistante de vie, qui a été confondue jeudi 23 février par les policiers de la brigade financière de la sûreté départementale (Sécurité publique), à la suite d'un signalement effectué par ses enfants. Ces derniers, informés par la banque gérant les comptes du nonagénaire de l'existence d'opérations anormales, compte à découvert alors que le retraité perçoit une retraite de 3000 euros mensuels, ont mis au jour l'utilisation à des fins personnelles par l'assistante de vie de la carte bleue et des chéquiers, pour un montant estimé à 30.000 euros.
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
Feux rouges : deux nouveaux systèmes photos
Deux feux tricolores équipés d'un système photos, l'un à Montpellier (intersection avenues François-Dezeuze, de la Colline et de la rue Croix-des Rosiers, sens Mosson/Près d'Arènes), l'autre à Vendargues (intersection des avenues de Montpellier et de Nîmes, des rues de Meyrargues et de la Vieille, sens Montpellier-Nîmes) seront opérationnels à minuit ce mardi 28 février, annonce la préfecture de l'Hérault. Le système de photos flashe les automobilistes qui franchissent le feu rouge.
Hold-up à Montpellier : deux équipes de braqueurs ?
Les policiers de la Sécurité publique et du SRPJ de Montpellier sont confrontés à une vague de vols à main armée au préjudice de commerçants depuis ces quinze derniers jours. Ainsi, les gérants d'un magasin de kebab et d'un commerce de vente de pizzas (à consommer sur place et à livrer) ayant pignon sur rue ici ont été dévalisés dans la soirée, après deux pompistes, des buralistes, un pharmacien ou encore le directeur des restaurants du salon Vinisud, au parc des expositions de Pérols. Les enquêteurs pensent que deux équipes de braqueurs opèrent encagoulés et gantés, l'une utilisant des armes de poing, l'autre des couteaux. Les hold-up se déroulent toujours en début de soirée et dans les secteurs sud de la ville.
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
Montpellier : le meurtrier présumé de la buraliste veut être libéré !
EXCLUSIF L'AGGLORIEUSE
Un Marocain de 27 ans mis en examen en mars 2011 pour le meurtre de Ludmilla, cette buraliste de 19 ans tuée de huit coups de couteau en août 2010 dans le commerce familial du quartier des hôpitaux-facultés de Montpellier veut être jugé libre devant la cour d'assises de l'Hérault. Alors que la date du procès n'a pas encore été fixée, le meurtrier présumé, en situation irrégulière en France lors des faits et de son interpellation, défendu par Me Mickaël Poilpré a saisi la chambre de l'instruction de la cour d'appel de Montpellier pour obtenir une libération jusqu'à ce qu'il soit jugé. Selon nos informations, le mis en examen incarcéré à Villeneuve-lès-Maguelone estime que les investigations policières étant terminées, il souhaite être astreint à un contrôle judiciaire strict, qui lui permettra de régulariser sa situation et de d'obtenir une autorisation de séjourner sur le territoire pour se présenter au procès. "Il y a surtout le fait que mon client nie être l'auteur du meurtre" précise son avocat. L'audience a été fixée à mardi 28 février. Cette requête suscite la colère et l'indignation des parents de la victime, défendue par Me Iris Christol. Ludmilla a été poignardée à huit reprises un matin d'août 2010, dans l'arrière-boutique du bureau de tabac pour les 130 euros que contenait la caisse.
ADN
Le meurtrier présumé "était venu pour voler et pas pour tuer, il a frappé à mort la buraliste parce qu'elle s'était mise à hurler, ce qui a provoqué sa panique" selon Brice Robin, le procureur de la République de Montpellier. Dans sa fuite, le clandestin qui vivait avec sa femme dans une cité proche des lieux du meurtre s'était débarrassé de sa casquette et de ses lunettes de soleil dans un container, à 300 mètres de là, casquette et lunettes récupérées par les policiers du SRPJ de Montpellier. Le meurtrier présumé qui s'est rétracté après avoir passé des aveux demande sa remise en liberté jusqu'au procès, alors que les expertises finales viennent d'être tout juste communiquées au juge d'instruction et aux avocats de la défense et de la partie civile. Les expertises concluent que l'ADN retrouvé sur la casquette jetée dans une poubelle proche des lieux du meurtre appartient au mis en examen.
Jean-Marc Aubert
Sécurité : "Ambassadeurs de la route" à 16 ans
"Les jeunes sont les premières victimes des accidents de la route, qui, mieux qu'un jeune pour convaincre un autre jeune ?" analyse Claude Baland, le préfet de l'Hérault. A partir de ce constat est née l'action des "ambassadeurs de la route". Jeudi 23 février, cette initiative originale a été présentée à la Maison de l'éducation et de la sécurité routières de Montpellier, un cadre symbolique puisqu'il abrite le centre d'examen du permis de conduire. Dix jeunes du centre de loisirs de Sète-Frontignan, des filles et des garçons âgés de 16 ans ont accepté de devenir "ambassadeurs de la route", en étant des intervenants départementaux de la sécurité routière juniors. "Ils s'engagent pendant deux ans à participer aux actions de sensibilisation à la sécurité routière pilotés par les services de l'Etat. Une partie de leur permis de conduire en conduite accompagnée sera financée" explique le préfet. Ces "ambassadeurs de la route" juniors vont être formés dans un premier temps par les professionnels de la direction départementale de la Sécurité publique (police nationale) et plus particulièrement de la circonscription de Sète-Frontignan, de la Sécurité routière et de la direction départementale des Territoires et de la Mer. Ces "ambassadeurs de la route" juniors sont de futurs capitaines de soirée pour les virées en discothèques !
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
Accidents : série noire sur l'A 75
Jeudi 23 février, alors que le chauffeur-routier du Loir-et-Cher impliqué dans le spectaculaire accident mardi 21 février vers 17h à la hauteur de l'aire de repos du Caylar, après le tunnel de l'Escalette était jugé en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel de Montpellier, l'autoroute A 75 était de nouveau paralysée par des accidents. A la hauteur de la bretelle de sortie de Gignac, dans le sens Montpellier-Lodève, une voiture a pris feu dans des circonstances indéterminées et son conducteur, un Montpelliérain de 22 ans a été grièvement brûlé. Touché à 80 % sur tout le corps, il a été admis dans un état jugé désespéré par les médecins du service des grands brûlés du CHRU Lapeyronie. Alors que le véhicule était en flammes, un sur-accident se produisait sur l'autre voie de circulation. Cinq personnes étaient blessées. L'A 75 a été coupée dans les deux sens pour permettre l'intervention des pompiers du secteur et de deux hélicoptères. Quant au routier de 41 ans, responsable de l'accident de mardi qui a fait quatre blessés, il a écopé de 18 mois de prison ferme et incarcéré. Il roulait au volant de son 44 tonnes avec 2,18 g d'alcool par litre de sang et était positif au cannabis.
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
Lunel : il s'attaque deux nuits de suite à la même banque !
Un Lunellois de 25 ans a été arrêté dans la soirée de mercredi, vers 22h30, à l'intérieur de la Caisse d'Epargne de Lunel par les gendarmes de la brigade de Lunel, alertés par le déclenchement de l'alarme. Le jeune homme s'y était introduit par effraction. La veille, dans la nuit, la même banque avait été la cible d'un casse à la disqueuse thermique. Le jeune homme a reconnu lors de sa garde à vue qu'il était également l'auteur de ce premier cambriolage ! Dans les deux cas, il voulait piller le DAB...
22 févr. 2012
Montpellier : encore un hold-up et une tentative nocturnes !
La série des braquages continue à Montpellier : mardi 21 février vers 21h, alors qu'il regagnait sa voiture garée sur le parking des expositions à Pérols, le directeur des restaurants de Vinisud a été dévalisé par deux individus, dont l'un lui aurait placé un objet dur (arme de poing ? couteau ?) dans le cou. La victime, apeurée a remis sa sacoche qui contenait la recette, dont le montant n'a pas été communiqué. Et puis, ce mercredi 22 février à 19h30, un individu armé d'un couteau a fait irruption dans une pharmacie du chemin de Moularès à Montpellier pour se faire remettre la caisse. Mais, le commerçant nullement impressionné a résisté et aurait mis en fuite le jeune braqueur, qui a opéré à 500 mètres à peine de l'Hôtel de police ! Cinq équipages du commissariat central ont investi le secteur et se trouvaient toujours sur place à 20h15. Les policiers de la Sécurité publique et du SRPJ sont sur les dents, après cette série de vols à main armée et de tentatives visant des commerçants d'ici. Lundi soir, deux braqueurs ont été mis en fuite d'un bureau de tabac du quartier de la Croix-d'Argent, non sans tirer un coup de fusil...
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
Couple disparu : les gendarmes chargés de l'enquête
Ce sont les gendarmes de la section de recherches de Marseille qui sont chargés de l'enquête sur la troublante disparition d'un couple de retraités, à bord d'un camping-car immatriculé dans le Vaucluse. Christian Baelen 67 ans et Lise-Marie Miquel, 62 ans ne donnent plus signe de vie depuis le jeudi 2 février. Ce jour-lç, les sexagénaires de Bollène (Vaucluse) ont utilisé leur carte bleue pour payer la note d'un restaurant en Andalousie, du côté de Grenade. Le couple devait fêter l'anniversaire d'un de leurs petits-enfants à Abeilhan, près de Pézenas, où réside sa fille, Caroline Morin. C'est ele qui a donné l'alerte à la gendarmerie de Servian, le 8 février. Une quinzaine de gendarmes de la section de recherches de Marseille sont mobilisés sur cette enquête préliminaire supervisée désormais par le procureur de Carpentras (Vaucluse). Des enquêteurs marseillais sont arrivées dans l'Hérault pour se rapprocher de leurs collègues d'ici qui ont mené les premières investigations. L'hypothèse d'un accident de la circulation sur des routes isolées espagnoles n'est pas exclue.
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
Biterrois : un enfant de 12 ans blessé par un tigre !
Un enfant de 12 ans a été mordu et blessé à la main droite par un tigre du Bengale mercredi 22 février à 14h30 sur le parking de la salle des fêtes de Nissan-lez-Ensérune, à l'ouest de Béziers, où le cirque Landri était en train de s'installer. La victime a escaladé la remorque abritant les fauves et un tigre en cage l'a mordu à la main droite. L'adolescent a été hospitalisé à Béziers, où on lui a placé des points de suture, notamment au pouce. Les gendarmes de Capestang ont ouvert une enquête.
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
21 févr. 2012
A75 : cinq blessés dans une collision voiture-camion
L'autoroute A75 a été coupée dans les deux sens mardi 21 février en fin d'après-midi à cause d'une collision entre une voiture et un semi-remorque, à proximité de l'aire de repos du Caylar, provoquant des embouteillages monstres. Le véhicule léger a été littéralement broyé par le poids-lourd (notre photo, Sdis 34, Thierry Pons). L'accident s'est produit à 16h40 et nécessite depuis la mobilisation des pompiers des casernes du Lodévois avec ambulances, médecins et fourgon de désincarcération. Un hélicoptère de la Sécurité civile est sur place. Le bilan fait état de cinq blessés dont un grave. Selon la gendarmerie, un "camion fou" serait à l'origine du drame. Des automobilistes avaient informé les gendarmes quelques minutes plus tôt qu'un chauffeur-routier multipliait les infractions au code de la route sur l'A75. Son interpellation a d'ailleurs été mouvementée. Depuis, il est en garde à vue au peloton d'autoroute de Clermont-l'Hérault. Le chauffeur était en état d'ivresse et aurait évité deux sorties de route sur une trentaine de kilomètres sur l'autoroute, avant d'aller écraser la voiture.
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
Montpellier : 8 endoscopes volés à la clinique de Val d'Aurelle
Huit endoscopes d'une valeur de 250.000 à 300.000 euros ont été volés dans la nuit de lundi 20 à mardi 21 février dans une armoire de la clinique de Val d'Aurelle qui abrite le centre de lutte contre le cancer sur le site d'Euromédecine, dans les quartiers nord de Montpellier. Toutes les interventions chirurgicales nécessitant une endoscopie ont été annulées et reportées. Le vol a été découvert vers 8h. Les huit appareils médicaux enfermés dans des valises avaient été rangés dans l'armoire la veille à 15h45. L'armoire a été forcée, mais le système d'alarme qui équipe la clinique n'a pas fonctionné. L'hypothèse qu'un des voleurs se soit caché dans l'établissement lundi pour ouvrir à ses complices durant la nuit n'est pas exclue par les policiers de la sûreté départementale (brigade des cambriolages de la Sécurité publique), en charge de l'enquête.
Filière ?
Curieusement, les voleurs ont délaissé les trois autres endoscopes qui se trouvaient dans la même armoire métallique. La clinique de Val d'Aurelle est, en effet équipée de onze de ces appareils, qui coûtent 25.000 à 30.000 euros l'unité. "La clinique de Val d'Aurelle, comme celle du Parc à Castelnau-le-Lez et d'autres cliniques de Montpellier ont déjà été victimes de vols de matériel médical de valeur dans le passé, mais il y a déjà plusieurs années. Nous allons alerter toutes les cliniques et les hôpitaux d'ici et de la région qu'un gang opère peut-être de nouveau. Les appareils volés dans le passé avaient été envoyés par une filière organisée dans les pays d'Afrique du Nord" explique le professeur Jacques Domergue, qui exerce au centre anti-cancer de Val d'Aurelle, où la police technique et scientifique était à piede d'oeuvre mardi matin pour chercher des indices.
Jean-Marc Aubert
Filière ?
Curieusement, les voleurs ont délaissé les trois autres endoscopes qui se trouvaient dans la même armoire métallique. La clinique de Val d'Aurelle est, en effet équipée de onze de ces appareils, qui coûtent 25.000 à 30.000 euros l'unité. "La clinique de Val d'Aurelle, comme celle du Parc à Castelnau-le-Lez et d'autres cliniques de Montpellier ont déjà été victimes de vols de matériel médical de valeur dans le passé, mais il y a déjà plusieurs années. Nous allons alerter toutes les cliniques et les hôpitaux d'ici et de la région qu'un gang opère peut-être de nouveau. Les appareils volés dans le passé avaient été envoyés par une filière organisée dans les pays d'Afrique du Nord" explique le professeur Jacques Domergue, qui exerce au centre anti-cancer de Val d'Aurelle, où la police technique et scientifique était à piede d'oeuvre mardi matin pour chercher des indices.
Jean-Marc Aubert
Montpellier : le buraliste courageux met en fuite deux braqueurs
Le gérant du bureau de tabac de l'avenue Georges-Brassens, entre les cités ouest de la Croix-d'Argent et de Lemasson à Montpellier a courageusement mis en fuite deux malfaiteurs encagoulés et dont l'un était porteur d'une arme de poing à l'épaule lundi 20 février, vers 19h. Les deux hommes ont fait irruption juste avant la fermeture et ont réclamé la recette. Le buraliste se trouvait avec son épouse, il n'y avait pas de client. Le gérant n'a pas hésité à protéger ses biens en voulant désarmer celui qui était armé. Une violente bagarre a alors éclaté et un coup de feu a été tiré, volontairement ou accidentellement. La balle a traversé le plancher, sans toucher quiconque. Les agresseurs ont alors rapidement quitté les lieux à pied, repartant du coup bredouilles. L'enquête a été confiée aux policiers du SRPJ de Montpellier. C'est le groupe de répression du banditisme (GRB) qui mène les investigations, en collaboration avec les policiers de la Sécurité publique d'ici. Faut-il établir un rapprochement avec d'autres hold-up ? La veille, un pompiste a été dévalisé à Tournezy et ces derniers jours, d'autres commerçants -dont un autre pompiste, avenue de Palavas- ont été braqués et obligés de remettre leur recette, toujours à l'heure de la fermeture...
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
20 févr. 2012
Feu de pinède dans le Biterrois : origine criminelle
Le feu de forêt qui s'est déclaré lundi 20 février sur la commune de Murviel-lès-Béziers a détruit cinq hectares de pins et de broussailles. Il est considéré comme éteint à 20h30 par quelque 60 pompiers des casernes de l'ouest de l'Hérault venus à bord de 22 engins. L'origine de l'incendie est criminelle et une enquête des gendarmes de la compagnie de Béziers est en cours. L'hypothèse d'une vengeance liée à un différend de voisinage autour de l'exploitation d'un chenil n'est pas exclue par les enquêteurs.
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
Mystérieuse disparition d'un couple en camping-car
Une habitante d'Abeilhan dans le Biterrois a signalé le 8 février dernier aux gendarmes de la brigade de Servian l'anormale disparition de ses parents partis en camping-car pour un raid en Afrique de trois mois. Le couple (elle 62 ans, lui, 67 ans) devait rentrer début février à Bollène (nord Vaucluse) où il réside pour fêter un anniversaire familial incontournable. Des investigations confiées aux gendarmes du groupement de l'Hérault par le procureur de Béziers ont permis d'établir que les retraités étaient vivants le 2 février en Espagne, plus exactement en Andalousie, mais depuis plus la moindre nouvelle. "Plus de retraits avec leur carte bancaire, plus d'appels téléphoniques, pas de localisation du camping-car, ni en Espagne, ni en France, rien, c'est comme s'ils s'étaient volatilisés" commente un officier de gendarmerie. La procédure a été transmise lundi 20 février en fin d'après-midi au procureur de Carpentras (Vaucluse), territorialement compétent en raison du lieu de résidence du couple, qui supervise désormais les investigations pour "disparition inquiétante". L'enquête est diligentée par la brigade de recherches de la compagnie de gendarmerie d'Orange. Dans sa maison d'Abeilhan, la fille des retraités pense qu'un évènement imprévu à pu se produire entre l'Espagne et Montpellier, une hypothèse qui n'est pas exclue par les enquêteurs.
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
Important feu de pinède dans le Biterrois
Une centaine de pompiers de l'ouest de l'Hérault sont mobilisés lundi 20 février après-midi sur un important feu de pinède sur la commune de Murviel-lès-Béziers. A 18 heures, le feu qui menaçait plusieurs hectares de forêt et de garrigue était en voie d'extinction. Un vent qui souffle à près de 100 km/h complique le travail des pompiers.
Montpellier : un pompiste dévalisé sous la menace d'un couteau
Un malfaiteur encagoulé et armé d'un couteau a fait irruption dans la boutique d'une station-service de la ZAC de Tournezy, dans les quartiers sud-est de Montpellier dimanche 19 février vers 19 heures et a obligé le pompiste a lui donner la recette du jour, avant de détaler à pied. DEs recherches effectuées dans le secteur par des patrouilles de police sont restées vaines. Le montant du préjudice n'a pas été communiquée. Les policiers de la sûreté départementale (Sécurité publique) sont chargés de l'enquête.
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
Montpellier : incident au centre de semi liberté
Selon nos informations, le centre de semi-liberté de Montpellier, rattaché à la direction interrégionale de l'administration pénitentiaire de Toulouse a connu un grave incident récemment : des surveillants alertés par des cris provenant d'une cellule ont découvert qu'un détenu était en train d'en tabasser un autre, pour une histoire de vengeance lié à un vol. La victime a été évacuée aux urgences du CHRU Lapeyronie pour y recevoir des soins. Le détenu violent avait déjà fait l'objet d'une procédure interne le même jour, alors qu'il avait été surpris à fouiller dans les affaires d'un autre détenu. Le directeur de l'établissement a aussitôt demandé au service de l'application des peines du tribunal de grande instance l'annulation définitive de la mesure de semi-liberté accordée à ce détenu dangereux. Il semble que des incidents aient lieu assez régulièrement au centre de semi-liberté, où se pose un problème d'effectifs : la nuit, il n'y aurait qu'un gardien de prison pour assurer la surveillance et...la sécurité des détenus !
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
19 févr. 2012
Sète : un couteau planté dans le dos d'un toxicomane !
Un jeune toxicomane de Sète est un miraculé : dans la nuit de samedi 18 à dimanche 19 février, à la suite d'une dispute avec un autre toxicomane notoire, trouvé porteur comme la victime de produits stupéfiants dans ses poches, il a été blessé sans gravité fort heureusement d'un coup de couteau. Selon la Sécurité publique de Montpellier qui gère la permanence des policiers du commissariat de la circonscription de Sète-Frontignan, l'agresseur, en état d'ivresse a carrément lancé le couteau vers le toxicomane, couteau qui s'est planté dans son dos. L'agressé est à l'hôpital et rejoindra à sa sortie l'agresseur qui est en garde à vue pour la détention de drogue !
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
Gare SNCF de Montpellier : important contrôles de police
Tous les passagers des trains qui arrivent en gare SNCF Saint-Roch à Montpellier sont contrôlés systématiquement, lors d'une importante opération de police, dimanche 19 février dans l'après-midi. A 16h45, des policiers de la Sécurité publique de l'Hérault, les CRS de la compagnie de Reims (Marne) actuellement en renfort ici et des agents de la brigade ferroviaire (la SUGE) se trouvaient toujours à la sortie des tunnels donnant accès aux quais de la gare. Des ports d'armes (couteaux) prohibés auraient déjà été relevés. "Il s'agit de montrer que la police nationale est présente dans la gare SNCF et de mener une sécurisation des passagers, ce genre d'opération sera reconduite" indique la Sécurité publique de Montpellier.
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
Course-poursuite entre Sussargues et Montpellier
Une spectaculaire course-poursuite, digne d'un polar s'est déroulée vendredi 17 février en soirée, entre Sussargues, un village du Lunellois et Montpellier, où les occupants d'une voiture qui avait semé les gendarmes à 20h40 ont été interpellés à 21h par les policiers de la brigade anticriminalité (Bac), après que l'un d'eux se soit enfui à pied. Le véhicule qui avait été signalé sur un cambriolage d'habitation dans le Lunellois, avant d'être pris en chasse par les gendarmes, puis repéré à la sortie de la bretelle de l'A9 du Zénith, s'est finalement immobilisé sur les voies du tramway à Montpellier. Les policiers de la Bac ont fait usage du flash-ball pour neutraliser les deux adolescents partis en courant : ils ne sont âgés que de 16 et de 17 ans et circulaient dans une voiture volée !
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
18 févr. 2012
Mort d'Adeline : le compagnon en examen pour assassinat
Mansour Larabi, 36 ans a été mis en examen pour "assassinat" samedi 18 février en fin de matinée par la juge d'instruction Anne-Flore Lebondidier, au palais de justice de Béziers. Le procureur de Béziers, Patrick Mathé a requalifié l'information judiciaire initialement ouverte pour "enlèvement et meurtre" en retenant la préméditation, au vu des éléments du dossier et des aveux du légionnaire. Il est soupçonné d'avoir étranglé Adeline Beau, 25 ans, dans la nuit de vendredi 10 à samedi 11 février et d'avoir préparé son geste et planifié la disparition de la victime en jetant son corps dans un gouffre, par dépit amoureux. Adeline Beau lui avait annoncé son intention de rompre leur relation entamée il y a cinq mois. Le parquet a requis le mandat de dépôt auprès du juge de la liberté et de la détention qui statuera sur le sort de Mansour Larabi dans l'après-midi.
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
Meurtre de Béziers : le légionnaire déféré au parquet
Mansour Larabi, ce légionnaire de 36 ans qui avait déserté son régiment d'Aubagne, près de Marseille depuis le 9 février, qui a avoué vendredi 17 février en fin d'après-midi avoir tué sa compagne, Adeline Beau, une employée de boulangerie de 25 ans a été déféré samedi 18 février en milieu de matinée au parquet de Béziers par les policiers du SRPJ de Montpellier. Il sera ensuite présenté à la juge d'instruction, Mme Lebondidier pour être mis en examen. Mansour Larabi est passé aux aveux à la trente huitième heure de garde à vue. La victime dont le corps a été repêché d'un gouffre du littoral audois a été étranglée. Adeline Beau avait annoncé à Mansour Larabi son intention de rompre et lui avait annoncé qu'elle ne fêterait pas la Saint-Valentin avec lui...
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
17 févr. 2012
Meurtre d'Adeline : la jeune femme a été étranglée
Adeline Beau, 25 ans, dont le cadavre lesté dans un sac de sport militaire a été repêché par les plongeurs des pompiers de l'Aude d'un gouffre du massif de la Clape au sud de Narbonne jeudi 16 février a été étranglée, après avoir été ligotée, sans doute dans son appartement de Béziers dans la nuit de vendredi 10 à samedi 11 février. Son compagnon, Mansour Larabi, un légionnaire de 36 ans qui rentrait d'Afghanistan est finalement passé aux aveux vendredi 17 février, après avoir longtemps nié, lors de sa garde à vue, gérée par les policiers du SRPJ de Montpellier. Il sera mis en examen samedi 18 février au matin par une juge d'instruction de Béziers. Les chefs d'enlèvement et d'homicide volontaire pourraient être requalifiés en assassinat.
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
Importants feux de forêt dans le Clermontois et à Aumelas
Un important feu de forêt dont l'origine serait un écobuage mal contrôlé s'est déclaré vendredi 17 février en fin d'après-midi sur la commune de Vailhan, dans le Clermontois, sur les contreforts du Salagou. Le feu est attisé par un fort vent. Les premiers engins des casernes du secteur (Clermont-l'Hérault et Pézenas) ont reçu des renforts de nombreux centres de secours de l'ouest du département. Par ailleurs, comme chaque année, hélas, un important feu de garrigue s'est propagé sur le plateau d'Aumelas, dans le secteur des éoliennes. 6 à 8 hectares ont brûlé.
Un an de prison avec sursis pour l'ex-magistrat Patrick Keil
Le tribunal correctionnel de Paris a condamné vendredi 17 février à un an de prison avec sursis Patrick Keil, à l'époque où il était substitut du procureur de la République de Montpellier pour corruption passive et violation du secret professionnel. Gilles Payen, chirurgien dentiste a écopé de six mois de prison avec sursis. Il est condamné également, mais pour corruption active. Des avantages financiers (argent, billets de train, déjeuners et dîners dans des restaurants) avaient été accordés par le chirurgien dentiste à l'ex-magistrat âgé de 48 ans, surnommé "le petit juge", depuis qu'il avait instruit l'affaire de dopage au sein de l'équipe cycliste Festina. Les juges ont suivi les réquisitions du ministère public. Patrick Keil, révoqué de la magistrature est gérant d'une entreprise de BTP.
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
Lodévois : le forcené en garde à vue pour tentative de meurtre
Le retraité de 67 ans délogé jeudi 16 février à 20 heures par le Groupe d'intervention de la gendarmerie nationale (GIGN) de sa maison où il était retranché depuis mercredi 15 février, 14h a été placé en garde à vue dans la nuit à la brigade de recherches de la compagnie de gendarmerie de Lodève pour "tentative de meurtre". Avant de se barricader chez lui, il avait grièvement blessé sa femme âgée de 65 ans à une épaule d'une décharge de fusil de chasse, après une dispute conjugale. La victime est hors de danger. Un médecin dira vendredi 17 février dans la matinée si la poursuite de la garde à vue est compatible ou non avec son état de santé. Le procureur de la République de Montpellier, Brice Robin devrait ouvrir une information judiciaire pour "tentative de meurtre" en vue de la mise en examen, vendredi 17 au soir ou samedi 18 février du sexagénaire par le juge d'instruction de permanence. L'affaire a suscité une vive émotion dans le tranquille petit village de Salelles-du-Bosc, au sud de Lodève.
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
Lodévois : le forcené délogé par le GIGN
Intervention sans bavure jeudi 16 février en soirée pour le GIGN (Groupe d'intervention de la gendarmerie nationale) qui a délogé le forcené retranché depuis mercredi 15 février dans sa maison de Salelles-du-Bosc, au sud de Lodève. Agé de 67 ans, il refusait de se rendre, après avoir grièvement blessé son épouse de 65 ans d'une décharge de fusil de chasse.
Le cadavre d'Adeline retrouvé dans un gouffre de l'Aude
Le cadavre d'Adeline Beau, 25 ans, cette employée d'une boulangerie-pâtisserie de Béziers qui avait brutalement disparu vendredi 10 février au soir a été retrouvé jeudi 16 février en début de soirée dans un gouffre situé sur la commune de Fleury-d'Aude, une station-balnéaire du sud de Narbonne, au pied du massif de la Clape. Le corps se trouvait dans un sac militaire, utilisé dans la légion. Mansour Larabi, 36 ans est légionnaire au régiment d'Aubagne, près de Marseille et se trouvait samedi 11 février tôt dans la matinée au domicile biterrois de la victime, qui était absente en revanche. En garde à vue au SRPJ à Montpellier, le suspect numéro un continue de nier toute implication dans le meurtre d'Adeline Beau, dont l'autopsie qui sera pratiquée au service médico-légal Lapeyronie de Montpellier vendredi 17 ou lundi 20 février, pour déterminer les circonstances du décès. Une mort par strangulation n'est pas exclue. C'est sur les indications des parents d'Adeline et de ceux de son compagnon que les recherches ont été menées dans ce gouffre isolé. Adeline Beau avait déclaré que le couple allait souvent se promener à cet endroit. Le cadavre reposait à une vingtaine de mètres de profondeur.
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
16 févr. 2012
Montpellier : un CRS en garde à vue pour avoir tabassé un...policier !
Un CRS âgé de 33 ans domicilié à Montpellier, mais en fonction dans une compagnie du nord-est du pays a été interpellé jeudi 16 février à la mi-journée et placé en garde à vue au commissariat central, à la sûreté départementale (Sécurité publique), une quinzaine de jours après avoir sérieusement blessé un gardien de la paix d'ici dans une discothèque de Lattes. La victime, âgée de 29 ans ans atteinte à la tête et qui bénéficie d'une interruption totale de travail (itt) de 14 jours, est affectée à la Compagnie départementale d'intervention, la CDI, de Montpellier, qui dépend de la Sécurité publique de l'Hérault. Les deux hommes qui se connaissaient semble-t-il étaient hors service. Une dispute a éclaté entre eux pour un motif inconnu dans l'établissement, dans la nuit de vendredi 3 à samedi 4 février et le gardien de la paix a été tabassé par le CRS, sous les yeux de témoins. Les deux hommes étaient semble-t-il en état d'ivresse. L'agresseur avait pris la fuite et avait été identifié, après des investigations de la sûreté départementale. Depuis, il était activement recherché, jusqu'à son arrestation par un équipage de la brigade anticriminalité (Bac) de Montpellier. La garde à vue du CRS a été prolongée vendredi 17 février sur instructions du procureur de la République.
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
Disparue de Béziers : le compagnon refuse de collaborer
Le compagnon d'Adeline Beau, cette employée d'une boulangerie-pâtisserie de Béziers âgée de 25 ans portée disparue depuis vendredi 10 février au soir refuse de collaborer avec les policiers de la "crim" du SRPJ de Montpellier, où il a été placé en garde à vue jeudi 16 février vers 10h. Mansour Larabi, un légionnaire de 36 ans qui a fait une tentative de suicide mardi 14 février dans un hôtel de Narbonne observe le silence complet et refuse de répondre aux questions des enquêteurs. Interrogé à l'hôtel de police de Montpellier, il a refusé l'assistance d'un avocat, comme la loi lui permet dès son placement en rétention. La priorité des policiers est de connaître le sort de la jeune femme.
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
Forcené du Lodévois : le GIGN va intervenir
L'équipe d'astreinte du GIGN (Groupe d'intervention de la gendarmerie nationale) en veille en région parisienne va intervenir avant la tombée de la nuit à Salelles-du-Bosc, au sud de Lodève où un forcené de 67 ans est retranché chez lui depuis mercredi 15 févier, après avoir grièvement blessé sa femme d'une décharge de fusil de chasse. Le GIGN doit arriver par avion à l'aéroport de Fréjorgues, commune de Mauguio dans l'après-midi, puis se rendre sur zone, où les négociateurs de la gendarmerie ne parviennent pas à ramener le sexagénaire à la raison. C'est le préfet de l'Hérault qui a validé en début d'après-midi l'intervention du GIGN, préférée finalement à celle de l'unité d'élite du peloton des gendarmes mobiles d'Orange (Vaucluse) et d'Hyères (Var), déjà sur les lieux. Le maire de la commune et les autorités ont mis la salle des fêtes de Salelles-du-Bosc à la disposition des gendarmes d'élite pour préparer l'assaut. Le fils du forcené leur a fourni un description détaillé et complet de la configuration de l'habitation.
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
Disparue de Béziers : le compagnon d'Adeline en garde à vue
Mansour Larabi, 36 ans a été placé en garde à vue jeudi 16 février vers 10 heures dans les locaux du SRPJ à Montpellier dans le cadre de l'information judiciaire ouverte des chefs d'enlèvement et d'homicide volontaire par le parquet de Béziers, après la disparition vendredi 10 février au soir de sa compagne Adeline Beau, 25 ans et dont on est sans nouvelle depuis. Priorité des policiers, connaître le sort de l'employée modèle d'une boulangerie-pâtisserie de Béziers. Adeline Beau avait informé Mansour Larabi de son intention de se séparer, ce qu'il n'aurait pas accepté, comme il l'a écrit dans une lettre dans laquelle il annonçait son intention de se suicider. Le légionnaire du régiment d'Aubagne, qui rentrait d'Afghanistan et qui était porté déserteur depuis le 9 févier dernier a tenté de se suicider mardi 14 février dans la chambre de l'hôtel Ibis sud de Narbonne. Le jour de la Saint-Valentin...
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
15 févr. 2012
Forcené du Lodévois : les négociations ont repris
Les négociations ont repris jeudi 16 février à 8h entre des gendarmes en civil spécialisés pour les redditions et le retraité de 67 ans retranché chez lui, chemin de Poutout à Salelles-du-Bosc, au sud de Lodève. "Le sexagénaire est toujours vivant, il ouvre et il ferme ses volets, mais il refuse toujours de sortir, de se rendre. Son fils âgé d'une quarantaine d'années a encore tenté de le convaincre, sans succès. Le problème, c'est que nous ne pouvons pas pénétrer dans l'habitation, car nous savons qu'il dispose ad'au moins un fusil de chasse, mais il a d'autres armes et des munitions, selon son fils" indique la gendarmerie.
Le retraité atteint d'une grave maladie et qui se déplace avec un déambulateur a grièvement blessé sa femme de 65 ans qui avait quitté le domicile depuis ces derniers mois et qui est venu le voir pour prendre de ses nouvelles mercredi 15 février. Atteinte à une épaule d'une décharge de fusil de chasse, elle a eu le temps de s'enfuir et d'alerter le fils qui travaillait dans les champs. Entre-temps, son père s'était retranché dans la maison et menace de mettre fin à ses jours. "Nous voulons éviter un autre drame, nous privilégions toujours le dialogue pour le ramener à la raison" ajoute un officier de gendarmerie du groupement de l'Hérault. Un dispositif très discret est en place dans la zone où les négociateurs de la gendarmerie sont mobilisés. "On ne va pas laisser cette situation perdurer, il va falloir préparer une intervention pour déloger le forcené" a indiqué une source judiciaire.
Jean-Marc Aubert
Le retraité atteint d'une grave maladie et qui se déplace avec un déambulateur a grièvement blessé sa femme de 65 ans qui avait quitté le domicile depuis ces derniers mois et qui est venu le voir pour prendre de ses nouvelles mercredi 15 février. Atteinte à une épaule d'une décharge de fusil de chasse, elle a eu le temps de s'enfuir et d'alerter le fils qui travaillait dans les champs. Entre-temps, son père s'était retranché dans la maison et menace de mettre fin à ses jours. "Nous voulons éviter un autre drame, nous privilégions toujours le dialogue pour le ramener à la raison" ajoute un officier de gendarmerie du groupement de l'Hérault. Un dispositif très discret est en place dans la zone où les négociateurs de la gendarmerie sont mobilisés. "On ne va pas laisser cette situation perdurer, il va falloir préparer une intervention pour déloger le forcené" a indiqué une source judiciaire.
Jean-Marc Aubert
Disparue de Béziers : son compagnon a tenté de se suicider
Adeline Beau, cette employée de boulangerie-pâtisserie de 25 ans qui a disparu brutalement vendredi 10 février reste introuvable. En revanche, son compagnon, Mansour Laribi, 36 ans, un légionnaire du régiment d'Aubagne (Bouches-du-Rhône) a tenté de se suicider mardi 14 février dans une chambre de l'hôtel Ibis au sud de Narbonne, qu'il occupait depuis la veille, en avalant des médicaments puissants et de l'alcool. Il a été secouru à 20h par les pompiers qui l'ont transporté à l'hôpital de Narbonne, où il s'y trouvait toujours mercredi 15 février au soir. Les médecins estiment que son état de santé est incompatible avec une mesure de garde à vue. "Depuis son admission à l'hôpital, M.Laribi ne fait pas l'objet d'une mesure de garde à vue, nous attendons le feu vert des médecins" a indiqué Patrick Mathé, le procureur de la République de Béziers, en compagnie du commissaire divisionnaire Gilles Soulié, directeur du SRPJ de Montpellier. Le suspect numéro un pourrait être placé en garde à vue ce jeudi 16 février dans le cadre d'une information judiciaire ouverte pour "enlèvement et homicide volontaire" et confiée à la juge Lebondidier du tribunal de Béziers. "Notre priorité, c'est de connaître le sort d'Adeline Beau, aux pompiers et aux médecins, le compagnon qui se disputait violemment avec la jeune femme depuis ces dernières semaines n'a rien dit du tout. Il a laissé sa voiture à ses parents, il a quitté Béziers au volant du véhicule d'Adeline Beau, localisée mardi sur un parking de Narbonne, à 800 mètres de l'hôtel Ibis. Elle est passée au peigne fin par la police technique et scientifique, nous avons saisi des vêtements appartenant à Mansour Laribi qui ont été envoyés dans un laboratoire de police scientifique pour savoir si des taches séchées sont du sang humain ou non. Nous essayons de reconstituer son emploi du temps entre samedi matin 6h où la nounou de la fille de la disparue a parlé avec lui et lundi après-midi, le jour de son arrivée à l'hôtel Ibis du sud de Narbonne, il y a un trou de plus de 48 heures à combler" précise le procureur de Béziers. "Nous espérons qu'il nous dira ce qui est advenu de la jeune femme lors de sa garde à vue" ajoute le commissaire divisionnaire Gilles Soulié. La famille d'Adeline Beau se prépare au pire, hélas. Dans une courte lettre rédigée de sa main et retrouvée par les enquêteurs, Mansour Laribi a écrit qu'il allait mettre fin à ses jours pour rejoindre Adeline le jour de la Saint-Valentin...
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
Lodévois : un papy retranché à son domicile
Un retraité de 67 ans était toujours retranché à son domicile, chemin du Poutout à Salelles-du-Bosc, près de Lodève mercredi 15 février à 23 heures. Le papy qui est malade et qui se déplace à l'aide d'un déambulateur a tiré sur sa femme vers 12h15 avec un fusil de chasse, après une dispute conjugale. Après son transfert vers le CHRU Lapeyronie par hélicoptère, son mari s'est barricadé au domicile et menace de se suicider. Des négociateurs de la gendarmerie sont intervenus et ont entrepris une longue médiation avec le sexagénaire qui détiendrait le fusil, d'autres armes et des munitions. "Il refuse de quitter la maison, il ne veut rien entendre, nous avons laissé un dispositif allégé et discret pour la nuit, les négociateurs reprendront le dialogue et tenteront de le convaincre de nouveau jeudi matin" indiquait un officier de gendarmerie du groupement de l'Hérault. Une unité des gendarmes mobiles basée dans le sud (Orange et Hyères) et spécialisée dans des interventions pour déloger des forcenés pourrait intervenir jeudi 16. Ces opérations sont supervisées par Brice Robin, le procureur de la République de Montpellier.
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
14 févr. 2012
Disparue de Béziers : le légionnaire arrêté à Narbonne
EXCLUSIF
Le légionnaire qui était recherché depuis la disparition d'Adeline Beau, cette employée de boulangerie de 25 ans, disparue depuis vendredi 10 février au soir a été arrêté dans un hôtel de Narbonne. Il était seul lors de son interpellation réalisée grâce à la localisation du véhicule de la disparue, garée sur le parking de ce motel de l'Aude. Mansour Larabi, 36 ans était en état d'ivresse et avait consommé des produits stupéfiants, lors de son interpellation, effectuée sans incident dans sa chambre. Les policiers du SRPJ de Montpellier et le procureur de la République de Béziers, Patrick Mathé se montraient très inquiets ce mardi 14 février au soir sur le sort de la jeune femme. Le compagnon de la disparue qui n'aurait donné aucune indication sur le sort de la jeune femme, mère d'une fillette de 2 ans et demi devrait être déféré au plus tard mercredi 15 février au soir au parquet de Béziers, puis au cabinet du juge d'instruction de permanence pour être mis en examen des chefs criminels de "séquestration et homicide volontaire". Selon le procureur de Béziers, Adeline Beau avait signifié ces derniers jours à son compagnon son intention de le quitter, ce qu'il n'aurait pas supporté. Une bien triste affaire le jour de la Saint-Valentin...
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
13 févr. 2012
Disparus de Béziers : appel à témoin
Le Service régional de police judiciaire (SRPJ) de Montpellier lance un appel à témoin lundi 13 février pour retrouver la trace d'Adeline Beau, une employée de boulangerie de 25 ans qui a disparu dans la soirée de vendredi 10 février, après avoir quitté son travail à Béziers pour rejoindre son domicile et celle de son ex-compagnon, Mansour Larabi, un légionnaire de 35 ans, qui circulerait dans une Opel Meriva Cosmo gris foncé immatriculée BA 088 LM. C'est la nounou d'Adeline venue pour garder la fillette de 2 ans et demi chez elle samedi 11 février à 6h qui a aperçu son ex-ami pour la dernière fois, au domicile d'Adeline. Avant de s'esquiver, seul de l'appartement, Mansour Larabi a demandé à la nounou de s'occuper de la petite en l'absence de sa maman, partie au travail...
Toute personne susceptible de fournir un renseignement sur le couple est priée de contacter le SRPJ de Montpellier au 04 67 99 35 97 ou 06 67 59 22 26
Toute personne susceptible de fournir un renseignement sur le couple est priée de contacter le SRPJ de Montpellier au 04 67 99 35 97 ou 06 67 59 22 26
Béziers : l'adolescent a reçu trois coups de couteau
Un adolescent de 16 ans a été poignardé samedi 11 février vers 17h15 dans la galerie marchande de l'hypermarché Auchan, à la périphérie de Béziers. Atteint au thorax par trois coups de couteau, il est hospitalisé, mais si ses blessures sont graves, le pronostic vital n'était pas engagé lundi 13 février. Deux suspects, dont l'auteur des coups de couteau sont activement recherchés par les policiers du commissariat central de Béziers (Sécurité publique), deux hommes en état d'ivresse qui ont réussi à prendre la fuite. Ces deux individus se battaient devant un bar de la galerie marchande, lorsque est passé un groupe d'adolescents. Pour des raisons inconnues, l'un des deux inconnus s'en est pris violemment à l'adolescent, sous les yeux de ses copains, qui n'ont pas pu éviter qu'il ne reçoive trois coups de couteau. Les policiers disposent du signalement des deux fuyards.
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
Montpellier : quinze locataires intoxiqués par les fumées
Un violent incendie qui s'est déclaré dans la chambre d'un appartement, au 3e étage de la résidence étudiante de la rue Bourrely, dans le quartier Chaptal à Montpellier, lundi 13 février à 13h50 a mobilisé d'importants moyens de secours. Les pompiers ont déployé la grande échelle pour secourir quinze locataires prisonniers de l'immeuble et qui sont intoxiqués par les fumées. Le feu était éteint à 14h30 par quelque 60 pompiers dépêchés des deux casernes de Montpellier et des centres de secours voisins. Huit ambulances de pompiers (Montpellier, Castries, Pignan, Cournonterral, Fabrègues, Montbazin et La Grande-Motte) ont évacué les quinze personnes sur les urgences du CHRU Lapeyronie, de l'hôpital de Sète, des cliniques Saint-Jean, Saint-Roch à Montpellier et du Parc à Castelnau-le-Lez, après avoir reçu des soins sur place par deux médecins et un infirmier du Sdis 34. Les policiers de la Sécurité publique ont ouvert une enquête pour déterminer l'origine du sinistre. La Ville de Montpellier a ouvert le gymnase Gambardella, proche de la résidence touchée par les flammes et les fumées pour accueillir les étudiants à la rue en urgence.
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
12 févr. 2012
Béziers : un adolescent poignardé
Que s'est-il passé samedi 9 février à proximité d'un centre commercial de Béziers ? Un adolescent a été retrouvé perdant beaucoup de sang, à la suite d'une agression, qui serait crapuleuse, selon les premiers éléments de l'enquête de police. Il a été poignardé et son état a nécessité son admission aux urgences de l'hôpital de la ville. Les policiers du commissariat central de Béziers (Sécurité publique), en charge des investigations par le procureur de la République ont entendu des proches de la victime et des témoins, en attendant de pouvoir interroger l'adolescent, qui serait hors de danger.
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
Incendies en série : villa détruite et intoxications
Les sapeurs-pompiers de l'Hérault ont vécu un dimanche agité, selon un officier du Centre opérationnel d'incendie et de secours (Codis 34). Les interventions les plus marquantes ont eu lieu à Agde, à 11h20, où les quatre locataires d'un appartement ravagé par les flammes ont été intoxiqués par les fumées et hospitalisés à Béziers. A 12h10, un feu de cheminée a pris des proportions importantes à cause du vent chemin des Fontanelles à Saint-André-de-Sangonis. En dépit de la mobilisation des casernes de Gignac, Aniane, Lodève et Clermont-l'Hérault, la maison a été entièrement détruite et les occupants relogés. A 14h30, un feu de mazet s'est développé dans un sous-bois, près de Bédarieux, où cinq centres de secours ont lutté durant l'après-midi. 8 hectares de végétation ont brûlé. A 17h, les pompiers de Clermont-l'Hérault faisaient appel à des renforts pour éteindre un important feu de garrigue et de sous-bois, attisé par le vent et gagnant une zone escarpée.
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
Disparition de Béziers : le compagnon de la boulangère activement recherché
L'employée d'une boulangerie de Béziers âgée de 25 ans, qui a disparu brutalement depuis vendredi 10 février au soir et dont sa famille et ses proches n'ont plus la moindre nouvelle n'avait toujours pas été retrouvée dimanche 12 février, selon le procureur de la République de Béziers, Patrick Mathé. Le magistrat, à l'instar des policiers du SRPJ de Montpellier chargés de l'enquête, observe une discrétion absolue sur cette affaire. "C'est une disparition inquiétante, nous excluons un départ volontaire, on ne peut pas en dire plus" indique Patrick Mathé. L'AggloRieuse est en mesure de révéler qu'un homme est activement recherché depuis vendredi soir par les policiers et les gendarmes de l'Hérault, à la demande du SRPJ qui a lancé une diffusion nationale. Il s'agirait du compagnon de la jeune femme, qui restait introuvable ce dimanche soir.
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
Béziers : disparition inquiétante d'une boulangère
La disparition est qualifiée d'inquiétante par le procureur de la République de Béziers, Patrick Mathé : une boulangère de la sous-préfecture de l'Hérault âgée de 25 ans ne donne plus signe de vie depuis vendredi 9 février au soir. Elle s'est volatilisée après avoir quitté à pied la boulangerie où elle est employée, en début de soirée. Elle n'a pas regagné son domicile et n'a plus appelé ses parents et ses proches. L'hypothèse d'un départ volontaire était écartée dimanche 11 février par les policiers du SRPJ de Montpellier, en charge de l'enquête, au vu des circonstances de la disparition de la commerçante et d'indices matériels. L'enquête s'orienterait vers un enlèvement suivi d'une séquestration, probablement après une agression crapuleuse.
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
10 févr. 2012
Montpellier : inquiétante disparition d'une collégienne
D'importantes recherches sont menées par les policiers de la Sécurité publique de Montpellier, depuis la disparition jugée inquiétante d'une collégienne de 15 ans. Les policiers fouillent un vaste périmètre entre les cités de la Mosson, Malbosc et Pierrevives, à l'ouest de la ville et ont requis un chien du groupement de gendarmerie de l'Hérault spécialisé dans la recherche de personnes. L'adolescente qui n'aurait pas supporté d'avoir été victime d'agressions a quitté le collège Arthur-Rimbaud à 15 heures et n'a pas regagné le domicile familial. Vers18h, sa trace n'avait toujours pas été retrouvée. La collégienne, dépressive, a finalement rejoint un membre de sa famille à 21h, lequel a informé le commissariat central, où la nouvelle a été accueillie avec soulagement.
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
Double noyade sur l'étang de Thau : un couple meurt d'hypothermie
Les corps d'un habitant de Frontignan (63 ans) et d'une amie (60 ans) ont été retrouvés vendredi 10 février à 9h45, par un pêcheur sur les berges de l'étang de Thau, non loin des quais Suttel à Balaruc-les-Bains. Les victimes étaient habillées et ne portaient aucune trace suspecte. La découverte du petit bateau du Frontignanais qui dérivait sur l'étang, recoupée avec les indications données la veille à des proches indiquant que le couple projetait d'effectuer une balade nocturne en bateau laissent penser aux gendarmes de la compagnie de Pézenas, chargés de l'enquête et au médecin-légiste qui a effectué les premières constatations sur les lieux qu'il s'agit d'un accident. L'homme serait tombé du bateau et la dame aurait plongé pour le sauver de la noyade. Mais, le couple aurait péri d'hypothermie en raison des températures glaciales extérieure et de l'eau. Les corps auraient été rejetés sur les berges au petit matin. La voiture du propriétaire du bateau a été découverte, garée dans le port Suttel. Le procureur de la République de Montpellier a ordonné une autopsie des cadavres qui sera pratiquée lundi au service médico-légal du CHRU Lapeyronie. Les examens médico-légaux devraient confirmer ou infirmer cette hypothèse. Des examens toxicologiques seront effectués.
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
Lodève : voiture contre platane, un mort
Tragique accident de la route vendredi 10 février vers 11h, à la sortie de Lodève, à proximité de la pépinière, où une voiture s'est disloquée contre un platane, pour une raison inconnue. Le conducteur, un homme de 43 ans est mort sur le coup.
Montpellier : trois jeunes femmes dépouillées sous la menace d'un couteau
Trois jeune femmes (21,22 et 24 ans) ont été dépouillées sous la menace d'un couteau de cuisine placé sous leur gorge dans des rues de l'Ecusson, à Montpellier, dans la nuit de jeudi 9 à vendredi 10 février par un individu qui a été arrêté, alors qu'il attaquait une quatrième victime. L'agresseur a sévi entre 2h et 3h30 avenue Georges Clémenceau, place de la Comédie, rue Aristide-Olivier, où trois femmes seules qui rentraient chez elles ont été dévalisées : téléphone portable et argent liquide. La dernière victime a gazé l'agresseur et a alerté police-secours. A 3h30, une patrouille de la brigade anticriminalité (Bac) a repéré le suspect Grand rue Jean-Moulin, alors qu'il menaçait une jeune femme avec le couteau. Il a détalé, avant d'être interpellé devant l'église Saint-Roch, en possession du couteau de cuisine. Depuis son placement en garde à vue à la sûreté départementale (Sécurité publique), l'homme qui serait âgé de 25 à 30 ans et qui est démuni de papiers refuse de livrer son identité.
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
9 févr. 2012
Hérault : feux de garrigue et de sous-bois en série
"Nous avons entre dix et quinze feux de garrigue et de sous-bois par jour depuis une semaine, le plus souvent, ce sont des écobuages d'agriculteurs mal contrôlés, les flammes, attisées par le vent fort se propagent dans des terrains asséchés, il n'a pas plu depuis de nombreuses semaines" témoigne jeudi 9 février, l'officier d'astreinte au Centre opérationnel départemental d'incendie et de secours (Codis 34) de Vailhauquès. L'incendie le plus important a mobilisé plusieurs casernes du nord-ouest de l'Hérault mercredi 8 février, où 15 hectares de broussailles et de sous-bois ont brûlé dans une châtaigneraie des environs du Bousquet-d'Orb. "Nous avons comptabilisé d'autres feux de végétation qui ont dépassé les 2 hectares, nous avons envoyé des moyens importants" ajoute cet officier du Codis 34. Les sapeurs-pompiers de l'Hérault demande aux agriculteurs et autres citoyens qui profitent de la période d'autorisation pour faire brûler des terres et des talus pour le nettoyage d'hiver de faire preuve de prudence et de ne pas quitter les lieux avant d'avoir éteint les foyers. Ils se rallument sous l'effet du vent. D4autant qu'actuellement, à cause du grand froid qui perdure, l'eau se fait rare.
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
8 févr. 2012
Viol et meurtre de Léa : pétition pour un procès équitable
Une pétition, "Léa a droit à un procès équitable", est lancée par les parents de cette lycéenne de 17 ans violée et tuée la nuit du réveillon du jour de l'an 2011 au Plan-des-4 Seigneurs, dans les quartiers nord de Montpellier (notre photo). L'auteur présumé, Gérald S., un RMIste de 24 ans est en détention préventive. Les procès-verbaux où sont consignés ses aveux passés durant sa garde à vue, avant qu'il ne se rétracte, risquent d'être annulés par la cour d'appel de Toulouse, saisie par la Cour de cassation. La juridiction suprême a en effet cassé l'arrêt de la chambre de l'instruction de Montpellier ayant avalisé la procédure judiciaire, en estimant que le mis en examen n'a pas bénéficié de l'assistance d'un avocat tout au long de la garde à vue, en violation de l'article 6 de la Convention européenne des droits de l'Homme. Depuis cette décision de la Cour de cassation, les parents de Léa sont inconsolables. "Je veux seulement que la justice soit rendue et que le meurtrier présumé soit jugé avec tous les éléments du dossier d'instruction. En vertu de la vérité et de la justice, il est inacceptable que ces dépositions faites en garde à vue puissent être annulées" écrit notamment Karine, la maman de la victime pour expliquer cette démarche auprès de l'opinion.
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
Nord de Montpellier : un enfant de 4 ans meurt dans l'incendie d'un mobile-home
Un garçonnet de 4 ans a péri et sa soeur de 3 ans a été grièvement brûlée à la tête mercredi 8 février vers 8h30 dans l'incendie du mobile-home familial, au lieu-dit Le Rouet, sur la commune de Notre-Dame de Londres, à 35 kilomètres au nord de Montpellier. La mère des enfants était absente, quand le feu s'est déclaré, pour une raison inconnue. Elle avait conduit ses deux autres enfants au collège de Saint-Mathieu-de-Tréviers. La fillette a été admise dans le service des grands brûlés du CHRU de Montpellier. Les voisins, puis les pompiers de Saint-Martin-de-Londres n'ont pas pu sauver son frère. Les gendarmes de la compagnie de Lodève sont chargés de l'enquête. Un dysfonctionnement du poêle à bois pourrait avoir provoqué le sinistre.
CCI de Montpellier : l'Hôtel Saint-Côme à vendre ?
Le nouveau président de la CCIT de Montpellier, le promoteur André Deljarry ne l'a pas caché lors d'un déjeuner de presse : l'Hôtel Saint-Côme qui abrite la chambre depuis 1920 et dont il ne reste plus qu'une quinzaine de salariés actuellement serait mis à la vente. La CCIT est à la recherche de 300 m2 de bureaux dans l'Ecusson pour conserver une antenne, vitrine du centre-ville pour les commerçants, adhérents et public. Idem pour le site de Sup de Co à Alco. Le campus pourrait déménager.
A LIRE DANS L'AGGLORIEUSE N°479 EN VENTE DANS LES KIOSQUES OU PAR ABONNEMENT.
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Midi Libre : des emplois sauvés, un Mag le samedi
Où en est l'audit demandé par le SNJ (syndicat des journalistes) à Secafi sur le projet du plan social de Midi Libre ? Le SNJ et le comité d'entreprise ont marqué des points : des postes vont être sauvés à la rédaction et chez les photographes, un hebdo loisirs/terroir "Le Mag" va être diffusé le samedi en lieu et place de Midi Shopping, le directeur de la rédaction, Philippe Palat est désavoué, à cause de son management contesté. En exclusivité, les comptes rendus des commissions de la mi-janvier.
A LIRE DANS L'AGGLORIEUSE, N°479, EN VENTE DANS LES KIOSQUES OU PAR ABONNEMENT.
A LIRE DANS L'AGGLORIEUSE, N°479, EN VENTE DANS LES KIOSQUES OU PAR ABONNEMENT.
Montpellier : un pompiste braqué
Deux malfaiteurs gantés, encagoulés et armés ont braqué le pompiste d'une station-service de l'avenue de Palavas à Montpellier, mardi 7 février à 18h45. Ils ont intimé l'ordre à l'employé de leur ouvrir le coffre-fort, mais il n'avait pas les clés. Les braqueurs qui ne voulaient pas attirer l'attention de clients et de témoins ont pris la fuite avec la recette qui se trouvait dans la caisse. Les policiers de la sûreté départementale (Sécurité publique) sont chargés de l'enquête.
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
7 févr. 2012
Montpellier : à 15 ans, il conduisait la voiture de sa mère !
Lundi 6 février à 18h, rue de Cherchell, cité Saint-Martin (sud de Montpellier), un automobiliste a "brûlé" un stop, sans avoir aperçu une patrouille de la Compagnie départementale d'intervention (CDI) de la Sécurité publique à l'arrêt, à proximité. Quelle n'a pas été surprise des policiers en découvrant qu'un lycéen de 15 ans se trouvait au volant de la Twingo appartenant à sa mère. Laquelle, informée, n'a guère été surprise, puisqu'elle a indiqué aux policiers que son jeune fils empruntait souvent son véhicule pour aller voir sa copine !
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
Montpellier : 7 voitures incendiées, quinze locataires évacués
Sept voitures ont été incendiées dans la soirée de lundi 6 février dans le faubourg de Figuerolles à Montpellier et quinze locataires d'un immeuble ont été évacués in-extremis par les pompiers et les policiers de la Sécurité publique. Les flammes ont léché le hall d'entrée et les façades. Tout le quartier a été bouclé pour permettre l'intervention massive des sapeurs-pompiers. Une enquête de police est en cours pour déterminer l'origine de cet incendie spectaculaire. L'hypothèse criminelle est privilégiée par les enquêteurs de la sûreté départementale, un témoin ayant distinctement aperçu un individu mettre le feu à une voiture...
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
Montpellier : un responsable d'ACM et un journaliste agressés
Un responsable d'ACM (Office public de l'habitat de la communauté d'agglomération) et un journaliste reporter d'images (JRI) de la chaîne locale TV Sud qui l'accompagnait pour réaliser un reportage sur une recrudescence de cambriolages ont été pris à partie lundi 6 février en milieu d'après-midi dans la rue Pierre-Cardénale, dans le quartier ouest des Hauts-de-Massane. De très jeunes enfants, âgés semble-t-il de 10 à 13 ans ont jeté des pierres en leur direction. Seul le cadre d'ACM a été atteint à la tête et transporté aux urgences du CHRU par un collègue de travail, présent aussi sur place. Il a quitté l'hôpital deux heures plus tard. Conscient de cette situation de violences qui est le fait de jeunes enfants, le contrôleur général Marcel Authier, directeur départemental de la Sécurité publique annonce mardi 7 février dans le gratuit 20 Minutes, l'envoi de patrouilleurs dans ce quartier sensible des Hauts-de-Massane. "Leur présence dans l'Ecusson et à Port-Marianne a fait chuter les vols et les cambriolages et a permis de rapprocher la police nationale de la population" assure le patron des flics de l'Hérault. Reste qu'aux Hauts-de-Massane, la mission risque d'être difficile, car les jeunes de ce quartier défavorisé caillassent volontiers les représentants de l'Etat et des collectivités et notamment ceux qui arborent l'uniforme...
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
Montpellier : violent incendie près du lycée Jean Monnet
Six engins de pompiers des casernes de la Paillade et de Montaubérou ont été engagés lundi 6 février à 15h45 pour venir à bout d'un violent incendie qui a ravagé les tapis végétaux sur environ deux hectares que des employés d'une société spécialisée étaient en train d'installer pour calfeutrer des plantes, sur les deux ronds points et sur tous les talus formant les deux ronds points d'Alco, près du lycée Jean Monnet. Attisées par un vent fort, les flammes ont dévoré ces tapis végétaux pour se propager au parking du campus de Sup de Co, où six voitures ont été calcinées. Les véhicules étaient garées contre de hautes broussailles qui en s'enflammant ont gagné les pneus, puis les carcasses. Des cendres tombées d'une cigarette pourraient avoir provoqué cet incendie spectaculaire, à l'heure de la sortie de milliers d'élèves du lycée. Voici les images de l'intervention des pompiers d'ici.
Jean-Marc Aubert
6 févr. 2012
DJ tué : deux vigiles condamnés à 8 ans de réclusion
Deux frères, Mohamed et Tarik Kodad, 31 et 32 ans domiciliés à Montpellier, vigiles dans une discothèque du Grau-du-Roi à l'époque des faits, en 2004 ont été condamnés à huit ans de réclusion criminelle lundi 6 février au soir, après trois jours de procès devant la cour d'assises du Gard à Nîmes, pour avoir mortellement blessé un disc-jockey de Montpellier, à l'issue d'une soirée musicale. Ils ont comparu libre et ont été immédiatement menottés par des policiers et conduits en détention pour purger leur peine. Le troisième accusé a été acquitté. Les parents et les proches de Macki Gadjo, 27 ans, la victime, ainsi que leur avocat, Jean-François Titus, déjà scandalisés par la durée anormale de l'instruction -sept années avant les mises en examen- sont tombés des nues vendredi 3 février, lorsque l'avocat général Didier Durand qui portait l'accusation a demandé à la cour et aux jurés de ne pas condamner les trois accusés, au motif que la procédure n'apportait pas la moindre preuve de leur implication dans le décès du jeune disc-jockey...
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
Montpellier : coup de feu matinal pour un litige
Samedi 4 février vers 7h, deux conducteurs, l'un au volant d'une Audi A4, l'autre au volant d'une Twingo ont réglé un litige dans le quartier Saint-Lazare, l'un en exhibant une arme de poing de calibre 9 mm et en tirant sur le véhicule de son rival, qui venait de se saisir d'une pelle dans le coffre. Le conducteur de l'Audi A4 a contraint le propriétaire de la Twingo et ses quatre passagers à aller retirer 50 euros à un distributeur bancaire pour lui payer la vitre latérale brisée par le coup de feu. Les services de police ont été alertés toutefois et ont interpellé le conducteur qui a fait usage de son arme de poing. L'objet de ce litige qui aurait pu tourner au drame est banal : le conducteur de la Twingo avait demandé à celui de l'Audi A4 qui était à la recherche d'une discothèque de le suivre pour lui montrer le chemin, qu'il était incapable de retrouver !
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
Montpellier : terrible accident de la circulation
Un Montpelliérain de 22 ans a été admis aux urgences de l'hôpital Gui-de-Chauliac dans un état jugé désespéré et le pronostic vital est engagé, à la suite d'un terrible accident. Lundi 6 février à 15h55, la 205 qu'il conduisait a quitté la chaussée avenue Mendès-France, à la hauteur du rond-point du Zénith, dans le sens Montpellier-La Grande-Motte et s'est disloquée, le toit écrasé, après avoir fait un tonneau. Les pompiers ont procédé à une longue désincarcération pour le sortir de la carcasse.
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
Nord de Montpellier : deux maisons détruites par le feu
Deux maisons ont été entièrement détruites par le feu au nord de Montpellier, dans la nuit de dimanche 5 à lundi 6 février, à cause de feux de cheminée, qui, attisés par un vent violent ont gagné la toiture, puis les habitations. Les sapeurs-pompiers des deux casernes de Montpellier ont engagé d'importants moyens à 1h45 sur la commune de Clapiers, puis à 4h40 sur la commune de Saint-Clément-de-Rivière. Les occupants de ces maisons, réveillés en sursaut, ont réussi à s'échapper et à se réfugier chez des voisins. Ils ont été relogés.
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
Béziers : le PMU dévalisé à l'heure de l'apéro !
Trois malfaiteurs ont dévalisé un PMU du centre-ville de Béziers dimanche 5 février à midi pile. A l'heure de l'apéro, alors qu'il y avait des clients au comptoir, deux d'entre-eux ont maintenu en respect le patron et les clients du bar, tandis que leur complice armé d'un pistolet ou d'un révolver s'est rendu dans la pièce, où le caissier du PMU encaisse les paris. Il s'est fait remettre des fonds, dont le montant n'a pas été communiqué. Le trio a rapidement pris la fuite à pied. Les policiers de la Sécurité publique de Béziers sont chargés de l'enquête.
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
5 févr. 2012
Saint-Clément-de-Rivière : le gang à la disqueuse pille une bijouterie en plein jour
La bijouterie de la galerie du centre commercial de Trifontaine, au nord de Montpellier, sur la commune de Saint-Clément-de-Rivière a été pillée dimanche 5 février vers 14h par le gang à la disqueuse, qui opère dans l'Hérault depuis une dizaine de jours. Le commando a découpé le rideau métallique avec une disqueuse thermique pour pénétrer dans la galerie marchande, fracturer la bijouterie, briser les présentoirs et les vitrines et s'enfuir avec un butin important de pièces en or (bagues, colliers, chaînes, gourmettes, montres), en cours d'évaluation par les gendarmes (compagnie et brigade de recherches de Castelnau-le-Lez, brigade de Saint-Gély-du-Fesc) chargés de l'enquête. Ces derniers jours, selon un mode opératoire identique, deux boutiques d'optique et une jardinerie ont été dévalisées à Béziers, Mèze et Mauguio. Des attaques similaires ont lieu dans le Gard, le Vaucluse et les Bouches-du-Rhône. Une cellule spéciale d'enquête est opérationnelle depuis ces derniers mois à Aix-en-Provence, au sein de laquelle se trouve un gendarme de la brigade de recherches de Castelnau-le-Lez.
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
4 févr. 2012
Grand froid : compteurs et canalisations gelés dans l'Hérault
Selon la préfecture de l'Hérault, des compteurs et des canalisations d'eau sont gelés depuis la nuit de vendredi 3 à samedi 4 février 2012, à cause du grand froid et des températures qui sont tombées jusqu'à moins 12 degrés, selon des secteurs du département. De nombreuses canalisations publiques et des branchements privés sont endommagés chez un grand nombre d'usagers. Du coup, les services d'urgence des sociétés de distribution d'eau potables sont submergés d'appels. La direction régionale de la SAUR basée à Nîmes a mis en place une cellule spéciale, à l'instar de VEOLIA. La préfecture de l'Hérault demande aux usagers de respecter des consignes pour que ces services d'urgence gèrent les priorités, à savoir appeler le numéro d'urgence du distributeur d'eau potable au numéro indiqué sur la facture que si l'installation est cassée et qu'une fuite se produit.
Plus d'infos : site de la préfecture de l'Hérault, www.herault.pref.gouv.fr/
Plus d'infos : site de la préfecture de l'Hérault, www.herault.pref.gouv.fr/
Bédarieux : une maison détruite par le feu
Un violent feu de cheminée attisé par un fort vent s'est propagé à la toiture, puis à l'habitation qui a été détruite dans la soirée de vendredi 3 février 2012, sur la commune de Bédarieux (nord ouest de l'Hérault), en dépit d'une intervention massive de trois centres de secours du secteur. Les occupants de la maison, indemnes doivent être relogés.
3 févr. 2012
Grand froid à Montpellier : un gymnase chauffé pour accueillir les SDF
Le préfet de l'Hérault a activé vendredi 3 février au soir le niveau 3 du dispositif d'hébergement d'urgence et de veille sociale, en raison du grand froid qui est annoncé tout le week-end et la semaine prochaine. Ce niveau exceptionnel de crise sera maintenu jusqu'au vendredi 10 février 2012 à 8h, où un opoint de la situation sera établi. 85 nouvelles places sont ouvertes dans l'Hérault, dont 50 à Montpellier, où le gymnase chauffé Gambardella, rue Bourrély (quartier Chaptal/Georges Clémenceau) est ouvert aux SDF et autres personnes qui se retrouvent à la rue par ces températures glaciales. Accueil et hébergement assurés dans ce gymnase. Trois autres lieux sont ouverts, un à Sète, deux autres à Béziers. Au total, 363 places sont disponibles. Claude Baland, le préfet a adressé comme instructions à toutes les associations du champ de la veille sociale et de l'hébergement d'urgence de renforcer les maraudes et d'ouvrir les lieux d'accueil jour et nuit. Tous ceux accompagnés de chiens seront systématiquement accueillis. Le préfet sera sur le terrain dans la soirée de dimanche 5 février, en compagnie de la directrice départementale de la cohésion sociale.
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
Montpellier : les cambrioleurs percutent une voiture de police
Deux policiers de la brigade anticriminalité (BAC de jour) de Montpellier ont été légèrement commotionnés mardi 31 janvier 2012 vers 17h15, ont reçu des soins sur place par les pompiers et n'ont pas été hospitalisés, après une course-poursuite avec des cambrioleurs, dans le quartier de la route de Mende. La voiture de police (Sécurité publique) a été volontairement percutée par celle à bord de laquelle se trouvaient quatre individus. L'équipage de la BAC de jour intervenait suite à l'appel sur le 17 d'une riveraine du secteur des hôpitaux (nord de Montpellier) ayant signalé que quatre suspects âgés de 20 et 21 ans, originaires des pays de l'Est étaient en train de s'introduire dans un pavillon de la rue Vital Michalon occupé par une dame âgée, qui se trouvait à l'intérieur et qui refusait de répondre aux coups de sonnette. Les quatre hommes, croyant que les lieux étaient inoccupés ont commencé à s'en prendre à une fenêtre. Surpris par l'arrivée de la patrouille de police, ils ont grimpé dans le véhicule de l'un d'eux et ont pris la fuite. Ils ont volontairement foncé sur la voiture des policiers de la BAC qui a été endommagée. Deux d'entre-eux ont été interpellés, les deux autres ont détalé et n'ont pas été identifiés. Seul le conducteur de la voiture a été déféré au parquet jeudi 2 février au soir, son complice ayant été remis en liberté.
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
2 févr. 2012
Montpellier : l'étudiant allait écouler près de 8 kilos de résine de cannabis
Un étudiant en sport de 22 ans a été mis en examen jeudi 2 février 2012 après-midi par le juge d'instruction de permanence au tribunal de grande instance de Montpellier, après la découverte de 7,4 kilos de résine de cannabis (5,4 kilos dans son appartement et 2 autres dans sa cave) d'une cité des Cévennes (ouest de Montpellier), où les policiers de la sûreté départementale ont également saisi 3500 euros en numéraires provenant de la revente du shit et un scooter, qu'il avait signalé volé, ce qui lui avait permis d'être remboursé par son assurance, ainsi que des bijoux de valeur, une cagoule, des télépgones portables, un révolver de calibre 9 mm approvisionné de sept cartouches et deux armes de guerre, dont un pistolet-mitrailleur. Le jeune homme a indiqué lors de sa garde à vue qu'il avait acheté la drogue à des trafiquants et qu'il la revendait aux étudiants sur les campus d'ici. C'est une BMW volée en novembre en région parisienne qui a trahi le dealer. Mardi 31 janvier à 5h30, un équipage de la brigade anticriminalité (BAC) en patrouille cité des Cévennes avaient remarqué cette voiture volée mal garée rue de Circé. Les policiers avaient installé une discrète surveillance et ont interpellé l'étudiant à 9h30, alors qu'il allait grimper dans la voiture volée...
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
DJ tué en discothèque : procès des portiers sept ans après !
Le procès de trois Montpelliérains accusés d'avoir mortellement blessé un disc-jockey, lors d'une nuit techno dans la discothèque Le Roxy au Grau-du-Roi, s'est ouvert jeudi 2 février 2012 à 9h devant la cour d'assises du Gard à Nîmes, où ils comparaissent libres. Les faits remontent jour pour jour à sept ans ! Il aura fallu une longue instruction pour finalement renvoyer les trois vigiles devant les assises pour "violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner". Le 1e février 2004, à la suite d'une violente rixe entre les portiers de la boîte de nuit et des amis du DJ, Macki Gadjigo qui résidait à Montpellier, ce dernier s'écroulait, sombrait dans le coma et décédait dix jours plus tard au CHRU Lapeyronie. Les portiers ont longtemps évoqué une chute accidentelle, mais les légistes étaient formels, la victime présentait de profondes blessures au crâne causées par des coups violents. Trois juges d'instruction ont eu la procédure criminelle entre les mains, avant que le dernier en date ne la règle en renvoyant les trois vigiles montpelliérains devant la cour d'assises. La famille de Macki Gadjigo et son avocat, Jean-François Titus ont mené une longue bataille judiciaire pour faire éclater la vérité. Verdict attendu lundi 6 février au soir.
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
1 févr. 2012
Trois "casses" à l'actif d'un gang à la disqueuse
Le gang à la disqueuse serait-il de retour dans l'Hérault ? Trois spectaculaires cambriolages ont eu lieu en fin de semaine dernière au préjudice de l'enseigne Truffaut sur la commune de Mauguio, spécialisée dans les outils de jardinerie et de deux magasins d'optique, l'un à Mèze, l'autre dans un centre commercial de Béziers, où plus de 500 paires de lunettes de luxe ont été volées, au milieu de la nuit ou à l'aube, entre jeudi 26 et samedi 28 janvier, après découpage des rideaux métalliques à la disqueuse. Les policiers de la Sécurité publique et des unités de recherches de la gendarmerie sont chargés des enquêtes d'usage. Il s'agit de déterminer s'il s'agit d'une même équipe organisée qui opère ici.
Jean-Marc Aubert
Jean-Marc Aubert
Chutes de neige annoncées de Ganges à Sète
Un épisode neigeux est annoncé par Météo-France pour jeudi 2 février au matin à l'est du département de l'Hérault et plus particulièrement de Ganges à Sète. La couche de neige ne devrait pas dépasser les 5 centimètres, mais pourrait avoir des cumuls jusqu'à 15 centimètres, selon les endroits. Le littoral devrait être épargné avec des chutes de pluie. La préfecture de l'Hérault appelle les automobilistes à la prudence.
Montpellier : le juge Régis Cayrol fait son cinéma !
Ex-flic, ancien juge d'instruction, le Catalan Régis Cayrol est conseiller à la cour d'appel de Montpellier où il préside des procès des cours d'assises (au centre, sur notre photo). Un magistrat atypique féru de littérature et de culture : président du Cratère, le théâtre national d'Alès, il est la vedette d'un documentaire signé du réalisateur cévenol Raymond Achilli.
LIRE DANS L'AGGLORIEUSE N°478 (En vente dès ce mercredi 1e février dans les kiosques et par abonnement).
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Affaire Navarro : l'avocat monte au créneau
Après la mise en examen de Dominique Navarro pour "abus de confiance", à la suite de la plainte de la fédération nationale du PS, son avocat, Claude Benyoucef (sur notre photo) monte au créneau, alors que la mise en examen de Robert Navarro est inéluctable. "Le dossier va se dégonfler" assure l'avocat de "Domino", dont la moutarde lui monte au nez...
A LIRE DANS L'AGGLORIEUSE, N° 478 (En vente dès ce mercredi 1e février dans les kiosques et par abonnement).
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